Tu sais que c’est sous le charbon que brûlent les feux les plus ardents. Tu as le nez pour dénicher les trucs en vogue et ton autodérision te permet de voir la vie en rose. Alors, le Pays Noir est fait pour toi.
Ancienne cité minière historique, ceux qui n’y ont jamais mis les pieds résument souvent Charleroi à ses terrils, son passé industriel, son aéroport et son accent… particulier. Si tu passes outre ces idées reçues sur le « Pays Noir », la cité wallonne t’ouvrira ses portes colorées. Tu y découvriras une ville en plein essor, dynamique, tournée vers la modernité et prête à en découdre avec les préjugés.
Avec une foule de nouvelles infrastructures économiques, commerciales, artistiques et citoyennes atypiques, Charleroi se métamorphose en même temps que son paysage architectural et devient la ville de demain. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que certain·e·s la surnomment le nouveau Berlin (bon à savoir : les clubs et bars carolos sont moins sélect que le Berghain).
Berceau de l’avant-garde et du décalé, on tente des choses, on explore, on pratique le second degré, le tout avec les facilités, l’offre gourmande, le patrimoine et le réseau de transports d’une vraie grande ville.
Son nouveau centre commercial est l’endroit idéal pour les shopping addicts et ses multiples initiatives green et culturelles la placent sur le devant de la scène internationale. Une ville qui pulse, comme toi.
Incroyable, mais les terrils — ces immenses collines artificielles de résidus miniers — sont peu à peu devenus les poumons de la ville. Promenade, apéros, open-air, logements écologiques.. Ils sont repensés par et pour les habitants, et de par leur hauteur permettent de voir que la ville est la plus verte de Wallonie. Avec plus d’une dizaine de parcs et pas mal de champs, c’est encore un peu la campagne.
Niveau culture, on ne chôme pas. Théâtre, espaces créatifs, centres culturels, salles de danse et de concerts, musées et arts urbains naissent et s’épanouissent tous les jours. Si tu croyais encore que cette ville allait te miner le moral (bonne vanne), tu te mets le doigt dans l’œil.
Où sont nos maisons